Marathon et Semi de Deauville 2019 12

Voici les récits de course de notre Dream Team ASM sur le semi et le marathon de Deauville ère édition !

Récit de Marianne

Je ne me souviens plus trop comment je me suis embarquée dans cette aventure…J’ai démarré ma préparation le WE du 7-8 septembre en reprenant celle du marathon  de Cheverny mais l’emploi du temps chargé des WE de septembre l’a mise entre parenthèses pour 3 semaines. J’ai acheté un coupe-vent après un entrainement pluvieux mais  heureusement il n’aura pas servi. Les sorties longues se font parfois avec Sandra et Laurence, parfois avec Valérie F, Christine, Kalou ou Guillaume. Pour la dernière semaine, je suis le même régime qu’avant Cheverny jusqu’aux 2 derniers repas du samedi midi (Pizza) et soir (Pates). Cette fois je m’autorise un peu de vin rouge (du Chianti J). Le samedi soir Yoda nous met en garde sur la « côte de Beulle » vers le km21…Gloups…La nuit précédente, je ne dors pas mieux qu’à Cheverny.

Le matin, je me sens bien, j’ai hâte. Une photo de groupe devant l’hôtel Normandy et nous nous rejoignons la zone de départ, nous nous plaçons derrière les meneurs de 4h30.  C’est parti, 500m après le départ Guillaume, perché sur un talus nous interpelle. Nous partons plus vite que prévu et retrouvons les garçons au km3, ils vont nos accompagner jusqu’au km8. Un peu avant le km5 Tonio est là et il nous accompagne aussi jusqu’au km8 c’est une très bonne surprise ! Le parcours est très beau. A partir du km10, il y a des côtes et des descentes. Aux ravitaillements, il n’y a que de l’eau mais j‘ai lu qu’il n’y avait pas de solide avant le km20. Entre le km20 et km21, arrive la fameuse cote, un peu plus longue que les autres. Les douleurs apparaissent plus tôt qu’à Cheverny. J’espère que je ne vais pas regretter d’être partie plus vite que prévu. Certains km passent vite et d’autres plus lentement. Au ravito du 25, il y a du sirop et du sucre ! Youpi et à celui du 31, il y a de la banane…il n’y aura plus que ça jusqu’à la fin L. Les garçons repartent avec nous. Guillaume est mon lièvre. Je me détache un peu de Sandra, Laurence et Eric. J’ai du mal à accélérer, mon allure oscille entre 6 :40 et 6 :50. Après le  km37, j’entends une voix qui m’appelle : c’est Laurence qui nous a rattrapé WHAOU ! Après le km40, nous courons le long de la mer, c’est magnifique, au km41, j’accélère, je ne sais pas trop où je puise cette énergie, il y a plus de monde qui nous encourage ça fait du bien, l’arche de l’arrivée semble reculer, Guillaume essaie de filmer. Tout l’ASM présent à Deauville nous encourage, Laurence accélère encore et franchit la ligne quelques secondes avant moi.

Et voilà c’est fini : 4 :48 :11. J’ai mal de partout ! Sandra arrive 3 min après nous.

Après une douche nous retrouvons le groupe dans un restau au bout du bout des planches pour récupérer avec un burger au camembert et une bière. Ce moment de partage post-course m’avait manqué à Cheverny.

Merci à Sandra d’avoir lancé l’idée et d’avoir organisé le séjour.

Merci à Guillaume de m’avoir transporté et supportée. Je redoute le jour où il courira aussi un marathon, qui conduira ?

Merci à tous pour vos encouragements et votre bonne humeur !

Récit de Laurence

Suite à l’euphorie du premier marathon de Cheverny, j’ai tout de suite répondu présente quand Sandra a demandé qui voudrait bien l’accompagner pour ce marathon de reprise après bébé. Marianne a suivi peu de temps après.

Ensuite, j’ai commencé à déchanter: je m’étais très peu entraînée l’été à cause de la chaleur. La reprise en septembre a été difficile. Je n’arrivais plus à suivre Marianne lors des entraînements mais la persévérance a fini par payer et j’ai même progressé au test de VMA.

Le début de la prépa a coïncidé avec le trail des Fonds de Cayenne puis la Paris Versailles. Ensuite les sorties longues à Saint Gemme puis de moins en moins longues.

La fin de la prépa a été difficile : j’étais très fatiguée et je commençais à stresser: j’avais l’impression d’être moins bien entraînée que pour le premier marathon. De plus, je hais le mois de novembre et j’ai toujours un gros coup de mou à cette période . Je commençais à douter, envie de me débiner mais je m’étais moralement engagée auprès de Sandra Et puis je savais que je pourrai compter sur le soutien de mon mari qui pouvait enfin être avec moi ce week-end!

Nous partons samedi après-midi dans la voiture de Marianne et Guillaume.

J’ai passé toute la matinée à checker et rechecker ma valise. Peur d’oublier quelque chose surtout après un cauchemard il y a quelque temps où j’avais rêvé que j’avais oublié mes baskets et que je devais courir en bottes en caoutchouc…

Arrivés à Deauville, nous visitons un hôtel Ibis avant de regagner le bon.

Puis nous retrouvons les copains autour d’une bonne bière, la pression commence à tomber. Ensuite un super resto italien (merci Sandra !) ou je m’octroie du chianti, des tagliatelles et une grosse coupe glacée !!! Rien à voir avec le régime d’ascète auquel je m’étais astreinte la semaine avant Cheverny !!!

Je réussis à bien dormir ( vive le Chianti !!!) et après un bon petit dej et la photo de groupe, nous rejoignons notre sas ( plus de 4:30). J’ai froid mais heureusement le départ ne tarde pas.

Et c’est parti pour 42,2 km !!! Au bout de 3 km, les garçons nous rejoignent et nous accompagnent jusqu’ au 7ème . Tonio court avec nous également. Cela a été une super surprise de le voir débouler!!! Quel cachottier celui-là!!!

Tonio, puis les garçons nous quittent. Et nous commençons petit à petit à à aller plus vite que notre allure marathon fixée à 6:50. La moyenne est plutôt de 6:30.Heureusement que maître Yoda n’est pas là pour nous botter les fesses avec son sabre et que Tonio nous a bien recommandé de ne pas partir trop vite.

Mais bon, le parcours est plat, il fait beau, les oiseaux chantent et la campagne autour de Deauville est magnifique. Nous admirons les haras, les belles maisons à colombages, nous apprécions les encouragements des bénévoles (une dame nous offre même une banane) Sandra en profite pour repérer quelques lieux pour son mariage et nous optimisons les pauses techniques en faisant des arrêts groupés: deux des filles faisant paravent à la troisième. Sandra a un peu mal au ventre, Marianne s’arrête pour lui donner un cachet et et moi j’en profite pour faire mon troisième et dernier pipi. Ça c’est de l’organisation !!! Et je suis très fière de moi car je ne me suis arrêtée que trois fois au lieu de quatre à Cheverny!!! Deux précieuses minutes de gagnée ;)) Je ne souffre pas trop du manque de ravito car pour une fois j’ai écouté mon mari ;)) qui m’avait conseillé d’emmener 2 ou 3 pâtes de fruits au cas ou.

On retrouve les garçons au 20e km qui nous prennent en photo et nous encouragent. Ça fait du bien. Les pauvre sont frigorifiés. Pour moi, la température est idéale pour courir. On a même du soleil ☀️Puis arrive la côte tant redoutée …Nous commençons à ralentir mais 7:00, c’est tout à fait honorable pour une côte… Petit coup de mou au 21ème kilo en voyant une participante s’arrêter ( marathon en relai) alors que je n‘en suis même pas à la moitié …

Mais Sandra me rebooste : „c‘est nul, elle va rentrer en bus, nous on va fouler les planches de Deauville ! Trop la classe!! »

Les 10 km suivants sont les plus difficiles: Une alternance de côtes et de descentes qui cassent bien les pattes dans la forêt ( plus grand monde pour nous encourager). L’allure baisse.

Au 30e km, les garçons sont heureux de nous retrouver pour se réchauffer enfin et nous accompagner jusqu’à la fin. C‘est chouette de les revoir!!!

Marianne part devant avec Guillaume. Éric et moi restons avec Sandra qui commence à souffrir. Ils m’assurent tous les deux que je peux accélérer et c’est ce que je fais. Je repars à 6:30 pendant 3, 4 km quand j’aperçois au loin, très au loin une belle blonde avec son chevalier servant. J’essaye de les rattraper mais j’en bave. J’ai l’impression qu’ils sont à plus de 2 km de distance!

Je double plein de gens, Ça fait du bien au moral. Je tente un sprint et j’arrive enfin à les rattraper au bout d’un temps qui m’a paru interminable.

Nous courons les cinq derniers kilomètres ensemble. Depuis le 20e jusqu’à la fin, nous descendons petit à petit jusqu’à la mer donc le parcours est plus facile.

Mes jambes sont lourdes

mais j’arrive à suivre Marianne, revigorée par l’appel des planches.

Le dernier km sur les planches: Sandra tu avais raison: c’est trop la classe !

Temps : 4:48:08 ( 2 mn de moins qu‘au premier malgré un parcours plus difficile ! Je suis contente !)

Mes Remerciements:

• à mon mari qui m’a accompagnée et couru 15 km avec moi
• à Sandra pour l’organisation de ce super week-end,
• à Tonio et Véro d’être venus nous encourager (belle surprise !),
• à mes deux coéquipières de choc toujours présentes dans les bons et moins bons moments,
• à Guillaume et Marianne pour le covoiturage,
• et pour finir à tous les membres de l’Asm présents physiquement ou par leurs messages d’encouragement!!!

Conclusion : ce marathon fut un vrai kiff comme dirait Nico. Hâte d’être au prochain : celui de Paris !!!=

Récit de Valérie F

Superbe expérience sportive et humaine à Deauville.

Inscrite pour partager une course avec le club et prendre du bon temps, je ne pensais pas si bien réussir en début de saison, car mon RP de 2h05 sur semi me paraissait inatteignable, j’avais pour objectif de m’en rapprocher.

Après ma baisse de régime du printemps et de l’été, j’avais cependant repris avec énergie le fractionné en septembre et la forme était revenue, grosse détermination donc au départ de ce semi.

On se regroupe tous les ASM dans le sas de départ, stress général, accentué par les grelottements, mais la banane. Sylvain, Alexis et Marina partent cool, et je crois voir Séverine passer devant, je me cale sur le trio de choc, je tiens bien l’allure (qui est quand même à 5’35). Au km2, j’envoie mon gilet à Valérie M. venue nous encourager avec la femme d’Eric, nous sommes un escadron de 4 tee-shirts ASM, Marina et moi juste derrière Sylvain et Alexis, gros plaisir de course, j’ai déjà l’impression d’être un avion de chasse. Je les trouve à l’aise, mais moi aussi… vais-je payer ce démarrage rapide ?

Première course sans mon sac à dos (sortie de ma zone de confort !), je dois m’arrêter à tous les ravitos pour boire. Le premier arrive vers le km5, j’attrape un gobelet et j’essaie de boire en courant, grosse erreur, je m’étouffe, ça me coupe le souffle, le groupe prend de l’avance, je leur dis de ne pas m’attendre. Puis je vois Caro qui m’encourage, je lui jette mes manchons (maintenant je ne peux pas courir plus légère), je retrouve un souffle et je remonte vers l’escadron ASM, je tiens bon. Je suis tellement fière d’être avec eux. Km7, nous sommes un peu derrière les porteuses de flammes « 2h00 », mais le chemin est étroit, les coureurs se gênent, Sylvain décide d’accélérer pour passer devant, suivi d’Alexis, je sens que ça va trop vite, je décide de rester avec les porteuses de drapeaux, Marina aussi, mais elle rejoint les gars peu après. Je reste alors dans les roues des oriflammes, j’y retrouve Séverine, le rythme me convient très bien (je suis même en aisance !), ça déroule, les km passent comme sur des roulettes, gros gros gros plaisir de course dans la campagne normande. L’ambiance est bonne, les 2 porteuses de drapeau nous conseillent et nous encouragent, mais franchement j’étais déjà sur mon nuage. Courant avec elles, un 3^ème coach explique qu’à partir du km 18 ou 19, il décrocherait pour amener ceux qui le souhaitent en dessous des 2h00. Je me dis que si je peux je le suivrai. Aux ravitos désormais je bois en marchant ! un bout de banane et hop je remonte jusqu’aux oriflammes.

Km15, je recroise Caro qui m’encourage, c’est cool. Km16, je suis tellement bien que sans trop le décider mes jambes me font dépasser les porteuses de drapeau. Passage en centre-ville, un coucou aux supporteurs ASM ! Séverine suit mais elle me fait comprendre que ça va vite, quand je lui propose de ralentir elle me dit « vas-y toi »… je continue vers l’inconnu, ça tient. Km18, petite côte derrière l’hippodrome de Clairefontaine, puis la plage au loin. L’accélération devient difficile, je souffle mais c’est maintenant ou jamais… un coucou à Valérie L. (je suis concentrée, je n’ai pas vu les autres). Sur la longue dernière ligne droite je réussis à accélérer jusqu’à allure 5’18, le long de la plage et sur les planches, là c’est vraiment dur, mais c’est la fin, je sais depuis longtemps que j’ai mon nouveau RP, j’aperçois l’arche et le temps officiel affiche bientôt les 2h !!! arg, sprint final et je franchis à 1h59mn59s… (temps réel 1h59mn10s).

Boing boing, je saute de joie toute seule ! puis avec les copains. Quelle course de folie, je ne pensais pas pouvoir tenir à 5’37 de moyenne ni éprouver autant de plaisir. Merci à tous pour vos conseils et vos encouragements. Bravo à tous les participants, mention spéciale aux marathoniens/niennes, qui en ont bavé. Vive l’ASM !

Récit d’éric

Quand Sandra nous a proposé cette destination, je ne pouvais refuser et très vite, je m’aperçois que ce sera mon 10 ème marathon en deux années dont 7 en 2019 pour le moment…un 11 ème approche le petit dernier de l’année et pas le moindre!

Je sais vous pouvez penser que c’est trop ! Un autre que vous connaissez bien dira que je peux mieux faire (mdr) et je confirme que lui en fait beaucoup plus que moi et je pense que ce n’est pas sérieux…(mdr)

Pour cet anniversaire, je décide de le faire en off et de proposer d’accompagner quelqu’un, je propose et titi dispose ! Nous avons fait Cayenne ensemble, on a appris à se connaitre durant toute la saison dernière et comme vous le savez, il a beaucoup de défauts, je décide donc de l’accompagner sur son objectif.

Je choisis en plus de le faire déguiser et comme j’ai le melon, je choisis de le faire en César car j’ai le costume, il me manque juste le casque et biensûr en parlant un peu : tout se trouve dans ce club, et le hasard faisant bien les choses, Nico en a un en réserve! Merci Nico.

Cricri se joint à notre équipe et Yoda aussi au final.

Une équipe de choc pour accompagner titi se dessine.

Isa et moi arrivont à DEAUVILLE pour le repas du midi où nous rejoignons les Massets, les Laroches et titi : la règle d’or est respectée, je mange local un somptueux plateau de fruit de mer, une bière et du vin blanc choisi par notre YODA : un régal.

Après la récupération du dossard, une petite visite express de la ville et le dépôt de valise à la chambre d’hotel.

Notre rdv ASM power au restaurant de pasta se passe bien, et durant le repas, je préviens titi de la stratégie de course et au vue du dénivelé, je prends l’initiative de partir un peu plus vite pour rester dans son objectif car les ennuis commencent à partir du 17/18 ème avec de belles côtes et pour ne pas accélérer dans la deuxième partie de course!

Je laisse à titi le soin de raconter son épopée héroique car ce marathon est plus complexe que nous le pensions : je reste admiratif de son mental et de sa performance au vue du dénivellé de 300m !

Moi je garderais en mémoire de ce marathon : mon EF avec un sourire aux lèvres permanent et avec mon lever de bras pour un avé César quasiment continue pendant 42km et une arrivée sous des applaudissements de dingue sur les planches de DEAUVILLE : moi fou de cinéma sur les planches de DEAUVILLE un vrai kiff ! je n’aurais pu rêver mieux… Biensûr pour ne pas spolier le récit de titi, je garderais en souvenir ce travail d’équipe qui est pour moi aussi, voir plus important que de battre mes RP, accompagner les autres : c’est une vrai aventure humaine!

ASMent vôtre,

Eric L

Récit d’Alexis

Tous à Deauville !!

Nous voilà, Jour-J.

Les semi-marathoniens sont là, prêts à en découdre !
Je suis avec Marina, Valérie F. et Sylvain, top départ. Je suis devant et quelques centaines de mètres après le départ, Sylvain me rappel à l’ordre car je suis aspiré par les coureurs me précédant et ça va vite.
On parcourt rapidement la ville pour se retrouver le long de l’hippodrome, nous sommes toujours à 4.
Premier ravito, on prend à emporter ce qui me fait boire la moitié de mon gobelet d’eau car boire en courant n’est pas simple.
On garde le rythme du départ, 5 min 32 au kilo en moyenne. On aperçoit les meneurs du 2 heures vers le kilomètre 7, il y a pas mal de monde qui les suivent, Sylvain décide de doubler (belle accélération) en se frayant un chemin au bord de la route, je lui emboîte le pas quelques secondes plus tard, ce que ne ferons pas Marina et Valérie.
Quelques temps plus tard, Marina nous rejoint.
Sur les ravito suivant, on prend le temps de s’arrêter pour boire et manger.
Notre allure est toujours la même depuis le départ. Ça roule, ça roule, ça roule. Tout va bien pour nous 3.
Au 18ème km, Sylvain nous lâche (sans préavis), c’est la tête d’après lui qui ne suit pas.
Marina et moi continuons toujours au même rythme. Nous voilà au dernier virage avant les planches, je n’en peux plus. Marina part devant, je finis cette longue (très longue) ligne droite seul.
L’arrivée fait penser aux épreuves de montagne du Tour de France, le chemin se ressert avec le nombre de spectateurs venus en masse.
100 mètres avant l’arrivée, j’entends une voix me crier dessus, c’est Sylvain !!! Quel retour !!!
On accélère tous les 2 avec ce qui nous reste dans le corps, les photos reçues par l’organisation montrent l’envie de Sylvain de me doubler avant l’arrivée, ce qu’il arrivera à faire !

On retrouve Marina juste après la ligne d’arrivée, quel bonheur de se retrouver après ces kilomètres.

Ensuite, voici Valérie F. qui passe sous la barre des 2 heures !!!!

Objectif atteint : en dessous des 2 heures.

Un BIG merci à tous nos supporters tout au long du parcours, les quelques mots de soutien nous donnent de l’énergie supplémentaire !!

Un deuxième BIG merci à Sandra pour l’organisation !!

Un troisième BIG merci à l’ASM Deauville pour l’ambiance !!

Un quatrième BIG merci à l’ASM pour le soutien !!

MERCI

Ce récit est aussi le NOTRE : Sylvain, Marina et moi-même

Récit de Christine  – 1er Marathon de Deauville 17-11-19 « Avé César » 😊

 Ce Marathon est encore une fois de plus sous le signe de l’ASM, organisé par Sandra des mois à l’avance, on peut dire que l’ASM a répondu présent sur le semi et le Marathon.

Il y a des copines blessées, Caro, Val qui sont là quand même et c’est top, vous nous manquez les filles 😉. Pat est pas là mais je pense à elle aussi.

Hôtel Ibis Style très sympa, nous sommes nombreux à y être descendus.

Je viens avec Elise et JP mon mari. Ils sont contents de venir à Deauville d’autant qu’il ne fait pas trop moche, (on a quand même les yeux rivés sur la météo pour demain).

On covoit avec Titi et c’est partiii sur les coups de 9h45. En cours de route un resto s’improvise pour midi sur Trouville avec les Masset et les Longchamps, vu que nous arrivons plus tôt.

Une fois sur Deauville, nous posons nos affaires dans notre jolie chambre duplex.

Titi apprend qu’il sera en couple avec Alexis s’il ne fait pas changer sa chambre « lit nuptial » 😊

On fait confiance aux Masset pour le choix du Troquet « local » pour une préparation des fondamentaux « couleur » du pays : énorme plateau de fruits de mer avec un vin délicieux (je sais pas si il vient de chez le pape celui-là ? Mais il pourrait !). Je me contente d’un filet de turbotin et d’une tarte tatin, soyons raisonnables (mdr).

L’aprem nous flânons, et ça caille … nous allons repérer les lieux du départ sur les fameuses planches de Deauville.

Peu à peu les autres membres de l’ASM arrivent, nous nous rejoignons dans un bar du centre-ville.

Direction le resto italien pour une bonne pasta et il était pas mal, juste que nous ne sommes pas tous sur la même table snif.

Sandra et moi prenons le même plat, entre pizza et mousse au chocolat, escalopes gratinées, on va être blindés pour les courses du lendemain (Hein Alexis) !

Il est temps de rentrer pour moi après le repas, je suis crevée. Il fait froid, j’ai mal à la gorge depuis vendredi et je me suis fait arracher une molaire en bas à droite jeudi aprem, bon, suis un peu KO là.

Un bon bain chaud et dodo la cricri souris… sauf que… dormi en pointillé et mal, j’ai pris des dolipranes mais ça fait pas bcp effet. J’ai mal un peu partout et surtout à la dent et à la gorge.

L’heure du ti dej arrive, 3 cafés allongés plus tard, une ou deux tartines en compagnie d’une bonne table ASM, j’arrive à émerger mais j’ai vachement mal. Heureusement super Marianne est là avec du nurofen ! J’en prends un 400 en espérant que ça m’aide.

Je remonte finir de me préparer, crème NOK, couverture de survie, gourde OK, stimium OK, tout OK, je redescends, nous avons RDV avec notre photographe officielle et qui nous a manqué ce matin au ti dej (question de beurrage de tartine made in Masset Valérie 😊)

Je vois l’Illustre César dans le hall, que je salue ! Ave Cesar, Morituri Te Salutant ah ah !

On met un pied dehors et là !! OUAH CA CAILLE.

Ca me saisi direct mais bon, en courant je vais me réchauffer (enfin c’est ce que je croyais).

Photo ASM sans nos affiches que j’ai oubliées (quelle buse) mais nous avons nos tee shirts et manchons.

Il y a aussi un autre groupe de CLM je crois, je reconnais Nath et son mari, ils sont très sympas !

Notre photographe arrive comme elle peut, chargée avec les sacs et sa béquille pour soulager sa cheville, courageuse Valérie !

Photo, smile, rire, Nico arrive avec sa sister, il est sur le semi 😊

Bon, bah on y va ?

Oooh mais qui voilà ! Le Coach et Véro sont là !! Yeaaaah !

Nous ne passons pas inaperçus avec César, c’est sûr. Nous croisons un Obelix ah ah !… fameux coureur cet Obelix, mais nous le saurons qu’après, photo avec M Mauduit quand même !

Les filles se placent dans le sas, je ne les vois déjà plus.

Allez, je me mets avec Titi, César, Yoda, 4 de l’ASM groupir au départ. J’ai très très froid, je tremble de partout, il y a une brume humide et glaciale qui stagne, le ciel bleu n’est pas loin.

On entend la Marseillaise résonner… ça rempli le cœur de voir les coureurs chanter. Est-ce pour le premier marathon ? En attendant, ambiance particulière au départ de ce marathon.

Allez, le départ est donné, allez allez, César à côté de Titi, Yoda aussi et la tite souris derrière, c’est parti !

On serpente un peu, il faut sortir de la ville, on passe en ville, ça zigzague, ça bouche, ça se rétrécie avec des passages de portails… mais J’ai froid !! Les mollets sont en béton armé. J’ai mal à la gorge, mais c’est gérable.

Aie, 1.2 km c’est quoi ces crampes ? C’est une blague ? Ça me prend le flan gauche, du mollet à la hanche, j’ai fait un bond de côté pour éviter un coureur et ça se fige du bas vers le haut, ça me fait boiter. Je m’accroche, je serre les dents mais je fini par le dire aux garçons : j’ai des crampes et j’ai froid…

Yoda me dit de rester derrière eux, d’y aller doucement, Eric et Titi me disent pareil.

Je laisse qques distances mais je ne les perds pas de vue.

Si les Tee Shirt ASM s’éloignent trop je ne sais pas si je vais gérer !

4 ieme kilomètre… purée c’est dur, je bois je bois, j’ai quasi épuisé ma boisson isoto concentrée.

8 ieme, mais pu… de m… ça va me lâcher oui ?

12 ieme … bah non, ça ne me lâche pas, je m’accroche, je souffle comme un bœuf.

Mal aux mollets, aux hanches, ça bloque ça durcit.

Par moment y’a une bonne tite brise bien glaciale. Ca n’aide pas.

J’entends Eric qui coach Titi devant, il fait des saluts à la foule, c’est sur il va en avoir des courbatures !

Yoda retrouve qques potes (comme dhab) et tape un peu la discut.

16 ieme, moi je ne l’ouvre pas trop hein, je ne vois rien de la beauté des bois traversés, des hameaux paisibles aux belles demeures, je souffre point.

C’est bien pénible….

20 ieme bon… ça va un peu mieux pour les mollets mais bof les cuisses, j’ai rempli ma gourde 2 fois, les ravitos n’étaient pas top sans nourriture ni rien, pas de verre d’eau préparés, on perd du temps.

J’ai tjrs aussi froid. J’ai gardé mon tube sur la tête et mon tour de cou POLAIRE !! Moi qui suis en tee shirt dès le 8 ieme quelle que soit la température, bah pas aujourd’hui hein.

J’ai des lancements dans la gorge, la mâchoire aussi, c’est pénible à chaque gorgée je tousse.

Titi avance bien 😊 mais je regrette de ne pas pouvoir l’aider. Toute mon Energie passe dans la gestion des crampes.

Si je vais trop vite ça brule, si trop doucement, bah l’acide monte, je fini par voir que l’allure à peu près confortable c’est du 5’30 au kilo et c’est tout.

Hou là là ça vallonne sec entre le 20 ieme et le 26 ieme je crois. Je ralentiiiiiiiiiiissssss

Ca monte ca descend, ça tourne et un semi balisé en plein milieu d’une bonne côte !?!

22 ieme l’allure de Titi baisse… mince ! Je ne l’ai pas vu manger bcp mais c’est moi qui ai pas vu ou il n’a effectivement pas assez ravitaillé ?

On a distancé un peu Titi maintenant, bon je reviens vers lui 2 ou 3 fois, Yoda me dit d’arrêter car je ne finirai pas sinon.

Je reste donc derrière Yoda un bon moment qui a gardé une allure régulière.

Eric me dit qu’il gère Titi alors j’évite les changements d’allure et je reste derrière Yoda.

Ma gorge me lance, la molaire aussi mais ça se gère. J’ai un Oro doliprane 1000 au pire en plus du nuro, je le gobe si besoin.

FOCUS cricri sinon tu vas te planter. Et en beauté.

Je ne regarde pas le chrono dont je me fou total, là je veux juste éviter de ramper en arrivant.

OK, je me mets dans ma bulle, je m’isole, je n’entends que ma foulée, je perçois le bois, les belles maisons, on est où là ? Le 30 ieme ? Ah on revient vers Deauville…

Je vois plus Yoda ?? Il est où ? Merde j’ai déconnecté total là !

Allez allez ! La tête commence à bourdonner, coup de mou, j’avale 3 stimium d’un coup

Ca fait belle lurette que je n’ai plus d’isoto et ça manque un peu quand même.

5’30 cricri pas plus sinon tu vas exploser…. Pas moins sinon je m’arrête.

Allez encore des faux plats, ça tourne, des rues des gens qui encouragent …

Le beau temps est là mais j’ai froid purée !

L’impression qu’il vient de l’intérieur.

Allez… 34 ieme ouaiiis !!

35 ieme ouh là, ouh là… la tête bourdonne là, je suis dans le coton

3 stim mais ça fait pas trop effet… 37 ieme je vois Val Masset et Isa, mon mari, et ma pucinette ! Rayon s de soleil ! Je suis dans le dur de dur, j’entends pas trop ce qui se dit.

J’ai vu Caro Oui Merci ma Caro !! Et Val Lemanceau avec son beau sourire ouiiii !! Ca fait du bien de vous voir purée quand on est dans le dur.

40 ieme…c’est quoi cette mini pente casse patte ? Sont sérieux ? Ça grimpe hein, tout le monde marche, je fume mes quadris mais je ne m’arrête pas.

Allez allez c’est où le bord d’océan m… !

Aaaaah et là au détour ça y est ! Gros soleil, le bleu de la mer …. Ouaaaah je suis dans le coton mais cette image là je la garde.

Allez allez une longue ligne droite, je pense à mes amies Pat et Stef… on s’est baladé là toutes les 3.

J’ai pensé à vous les filles !! Dédicace à Patricia qui aurait dû courir le semi, mais qui est blessée 😊

CA Y EST LES PLANCHES !!!!!!!!

Et la fin de mon récit fleuve !!

Que c’est joli cette arrivée. Je retrouve mon mari et ma fille, je m’écroule à moitié parce que là, la gorge est vraiment en feu. Vite un nuro, vite une douche et 10 min de repos allongée.

J’ai eu super froid, j’ai gardé toutes les couches de tee shirts et j’ai enlevé mon tour de cou au…41 ieme !!!

Nous finirons chez Patou à boire une mousse traditionnelle ASM et quelques burgers bien gras.

César aura eu un franc succès ! Bravo à Thierry et je regrette de n’avoir pu rester à tes côtés plus longtemps Titi. Pas bien la souris sur ce marathon… pas facile du tout.

Merci à Sandra pour l’orga, merci aux supportrices 😊 à Val pour les photos et au coach !!!

De le voir c’était cooool cooool.

Vive l’ASM et ses fondamentaux.

Ave César 😊

Et je n’aime ni les angines ni les molaires !!

Cricri Souris (moins une dent même pas sous l’oreiller !)

Récit de Sandra

Alors tout démarre de ce fameux weekend à Cheverny auquel nous avons participé quand Ewenne ma fille n’avait que 6 semaines. Voir tout le monde passer la ligne d’arrivée sur semi ou marathon, Christine qui bat son record à ce moment là et Marianne et Laurence sous haute garde qui finissent leur premier marathon, ben ça m’a donné envie, toute cette adrénaline cette émotion. Alors en rentrant pour me fixer un objectif pour la reprise je me dit allez on va a Deauville sur marathon !!! Jusque là facile !!!

Et puis vient le moment de reprendre la course à pied !! Je fais difficilement 30 minutes à 8km/h et encore. Du poids en trop, le Moral en prend un coup.
A la reprise de septembre, le coach me dit c’est plus sérieux mets toi sur semi !!
Mais Laurence me soutient et me dit qu’elle m’accompagne. Au début de la prépa, mon niveau n’est pas revenu mais les sensations sont meilleures.
Alors 3 mois de prépa sous la pluie et le vent la plupart du temps mais toujours les copines de courses pour m’accompagner !!

Et puis vient le marathon, on me demande comment je me sens : gros point d’interrogation on verra.
On a couru plus de 30 kms avec Laurence et Marianne, nous étions super organisées (les arrêts pipi, les ravitos, les supporters) alors on profite du beau temps et de la beauté du paysage !!
Arrive le 33e où j’ai un coup de mou, des sensations de crampes dans les mollets je préfères ralentir et Marianne et Guillaume me distance. Je sens que Laurence en a sous le pied et je lui dit que moralement ça va et que je vais finir quoi qu’il arrive. Alors elle part aussi, son mari Eric a la gentillesse de rester avec moi et de me parler parler parler pour me faire oublier les douleurs !! Et ça marche… Au 38 e accélération, j’ai envie de voir les planches et les copains copines du club on se rebooste.

Finalement j’arrive 3 minutes après les filles en 4h51 objectif atteint après grossesse je suis ravie et fière 😁

Pour terminer je voudrais remercier tout le club car peu importe mon niveau au cours de ces derniers mois j’ai toujours trouvé quelqu’un pour m’accompagner et me booster !!
– Merci à Valérie M de m’avoir supportée pendant nos marches dominicales
– Merci à Caro pour les courses de reprises vers Orgeval
– Merci a Marianne Laurence Séverine Kalou pour les autres sorties et la prépa !!!

Ce club est riche de belles personnes et de belles aventures tant sportives qu’humaines !!

Prochain objectif 2020 l’ultra marin sur 56 kms !! 😂

Récit de Thierry

C’est Caro qui a lancé l’idée du marathon de Deauville. Bises à elle et j’espère qu’elle reviendra vite.

L’idée d’une première course me plait bien c’est donc avec joie que je me suis inscrit.

J’avais pour objectif aussi d’enchainer un marathon par mois depuis septembre.

Nous voilà donc réuni sur Deauville, après un bon repas le midi, récupération des dossards, petite balade sur Deauville et notre repas du soir.

Nous échangeons sur nos envies de courses. Ces derniers temps, ayant de bonnes sensations Yoda et Eric m’invitent à me lancer sur un RP et donc de tenter 3h55.

C’est donc sur cette base que Eric qui pour son dixième marathon m’accompagne en César !

On se retrouve au départ avec toute l’équipe de l’ASM. Photos et hop au départ ! Cricri, Yoda, César et moi partons dans une belle foulée. il faut prendre de l’avance pour permettre de gérer la côte plus tard.

Ok, mais pas facile, ça bouchonne un peu … on fini par trouver un rythme de croisière. les kilomètres défilent et tout se passe Bien. César s’occupe de moi ! Un grand merci.

Nous voilà dans la fameuse côte ! C’est long et dur, le rythme baisse … 30ème ça devient très compliqué. En fait, il y a plein de côtes et c’est loin de ce que l’on avait pu imaginer.

Ce marathon est assez technique et je paye fortement ma mauvaise gestion de mon alimentation (manque de sucre et pas régulier), et le rythme que j’avais souhaité est finalement un peu élevé.

J’alterne marche et course avec Eric qui me relance. « si tu peux marcher tu peux courir » . « oui, oui, attend je vais me ressaisir ».

Le parcours est assez sympa dans la campagne normande. le soleil est avec nous avec tout de même un peu de froid.

Nous continuons notre avancé, les secondes gagnées se perdent, c’est pas grave, ça reste une expérience de plus. Un apprentissage, un marathon n’est jamais gagné.

Nous voilà à l’arrivée de la plage. magnifique, beau soleil et ambiance de folie. On retrouve nos supportrices préférées pour se lancer sur les planches. Voilà arrivé 4h14 à bout de cuisse qui ont passé 303m de dénivelé.

Après une bonne douche, on se retrouve pour un burger « il faut mettre du gras dans le moteur » et partager notre petite bière.

Vivement d’autres expériences.

Récit de Jean-Noel

Sorti des trails des fonds de Cayenne très satisfait de mes genoux, j’étais en attente d’un galop d’essai sur marathon pour confirmer sur bitume.

J’avais choisi Saumur pour ce retour au marathon mais quelle l’attente, beaucoup trop d’attente… j’ai donc cherché un marathon sur 2019 mais Deauville était déjà full, impossible de trouver des dossards…et là Caroline B. met en vente son dossard pour Deauville, à grands regrets… Caro, je te remercie pour ce dossard, merci pour tes encouragements pendant le marathon, j’espère te voir bientôt sur pied !

Départ de Maule samedi début d’après-midi pour aller chercher le dossard, rdv avec la troupe ASM au bistrot pour trinquer avec une petite moussinette. Attention, il s’agit d’être raisonnable car il y a encore le resto à suivre avec tout le monde. Ambiance chaleureuse, discussions autour des temps visés par chacun, la rondeur des vins italiens qu’on nous sert, les pasta, les gîtes etc…soirée très sympa.

De mon côté, j’ai eu beaucoup de mal à répondre sur le temps que je visais car d’une part je ne savais pas trop où j’en étais sur bitume, d’autres part le principal pour moi était de me sentir bien à la fin sans me mettre dans le rouge.

Au final, départ dans le sas 3h45 pour assez rapidement m’en séparer et suivre mon feeling. Je savais que la seconde partie du marathon était bien vallonnée alors j’ai mis de la retenue entre jusqu’au 25 ème. Je me sentais bien calé à 78% – 80%, super bien même avec mon camelbak sur le dos (haha, dédicace spéciale à Laurent M. et Fabrice !). En revanche et à ma grande surprise, rien à manger au ravito jusqu’au 25ème ! et là, c’est le drame…ou presque. J’avais prévu de commencer à m’alimenter à partir du 15ème , car les 50 cl de boisson iso dans mon dos ne suffisait pas.

Au final, j’ai eu un début d’hypo au 34ème, début d’étourdissement léger et mon cardio est passé de 78% à près de 84% dans certaines montées, j’ai donc ralenti pour revenir à 80% FC de moyenne.

Ravito du 35, je prends des sucres et pâte de fruit gélatineuses (beurk) à pleines main et me goinfre, rythme plus lent, beaucoup d’eau pour faire passer le sucre… au 40ème c’est passé, je reprends mon rythme initial, avec cette dernière côte qui m’a bien fait ralentir. Arrivée sur les planches, ambiance de feu, encouragement général et passage de la ligne ! Extra !

superbe marathon plutôt exigeant et difficile. Au final, malgré cette petite baisse de régime sur 5/6 km, je suis ravi de voir que l’entrainement trail et le choix de mes chaussures me permettent à nouveau de faire du marathon. Donc, RDV à Saumur donc pour un RP (avec une préparation spécifique marathon cette fois) !

Un grand merci aux supporter(rices) croisés, ça donne toujours du peps : Tonio, je ne m’attendais vraiment pas à te voir ici ! ça m’a fait plaisir, Valérie L. comme d’habitude merci pour tes encouragements ! Valérie M., Isabelle super ! (et joli reportage photo Valérie) ! Caro, je passe juste au moment où tu téléphones, ton interlocuteur a dû perdre de l’audition !! et toute ceux que j’oublie.

Merci Sandra pour l’organisation mais aussi bravo pour ta reprise sur les chapeaux de roues ! ça promet, d’ailleurs sur ton accèl sur les planches, j’ai eu du mal à te suivre !

Bravo à tous ceux qui ont couru, chacun a su se dépasser et/ou se faire plaisir (Avé César ;-)). Format de week end à refaire !

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Résultats Marathon :

Christine Laroche : 03:58:09
Eric Lonchampt : 04:13:52
Jean Noel Mercereau : 03:35:07
Laurence Maes : 04:48:07
Laurent Masset : 04:00:48
Marianne Forey : 04:48:10
Sandra Garandel : 04:51:19
Thierry Crespin : 04:14:07

Résultats Semi :

Alexis Degauque : 01:58:44
Valérie Froissart : 01:59:59
Nicolas Soja : 01:30:42
Marc Basso : 02:25:02
Marina Moussart : 01:58:22
Séverine Varet : 02:00:57
Sylvain Roux : 01:58:44

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