Le Trail des 7 Monts 2020 4


Voici les récits de course du trail des 7 Monts qui s’est déroulé le 11 Octobre 2020.

 

Récit d’Eric :

Récit de l’enjambée des 7 monts de SEPTMONCEL dans le massif JURASSIEN…Pays du Morbier !
Depuis deux années, mon binôme de choc (Laurent LETURGER) nous invite Isa et moi à venir découvrir le trail dans ses montagnes, ayant refusé l’année dernière à cause d’un mariage, je lui avais promis d’être présent cette année ! Cricri et JP, Jean NO et Cécile et leurs 2 bouts de choux, et Valérie et Yoda sont de la partie.
Cette rentrée devait théoriquement être chargée, entre différents marathons et un écotrail repoussé pour des raisons que vous connaissez… et finalement, Rien à l’horizon sauf ce petit trail dans un village gaulois qui semble résister et j’avais choisi d’être raisonnable et de choisir le petit format de 15 km et ses 600 M de dénivelé…
Nous covoiturons avec Valérie et YODA, rendez vous est donné à ARBOIS pour un déjeuner sur le thème du poulet au vin jaune et d’une sauce aux morilles : je suis un locavore…et cela me réussit plutôt bien ! Après qq achats régionaux en vins, fromages, charcuteries, pommes de terre et de salade pour le repas du soir : nous voila arrivés dans ce fameux chalet LETURGER qui est même indiqué sur la route !
Après un repas du soir plutôt copieux, rendez vous est donné, le lendemain matin pour une course des mousquetaires de l’ASM pour découvrir le paysage sauf que le temps ne s’y prête pas : de la pluie et du brouillard et j’appréhende la course de demain car le parcours est très technique : cela glisse et je ne me sens pas très à l’aise dans les descentes ! Un resto le midi entre amis pour récupérer, rien de mieux pour profiter de ce week-end  et une bonne raclette le soir et on refait le monde devant qq munitions et qq digestifs… et j’adore « accompagner » en course et surtout en « descente »…
7h30 : On se lève le dimanche avec du gel sur le pare brise des voitures mais un ciel dégagé et du soleil : on devrait découvrir les paysages de ce massif durant ce trail ! Le corps va bien et la tête aussi : le choix de l’alimentation était donc parfait… Le chalet est à 500m du départ, on va donc chercher les dossards après un petit déjeuner léger et retour au chalet en attendant le départ officiel à 9H30 !
Top départ, en musique svp et ça fait bizarre de mettre un dossard avec un masque en pleine campagne mais chose faite et aussi vite retiré car ça grimpe et on sait que ça va durer environs 7 km : le départ est en descente dans l’herbe ensuite une belle côte goudronné puis de l’herbe puis des bois et un petit sentier en pleine pente entre les arbres… Pas facile de courir : entre les racines, les pierres et la gadoue et de trouver son rythme car impossible de doubler alors on marche quand celui de devant marche et on court quand il court et on a peur de gêner celui qui est juste derrière…. J’ai décidé de courir à la sensation alors dans cette ascension je cours un peu et marche dès que je suis essoufflé, jean no est pas loin derrière et Laurent et YODA semblent plus éloignés au fur et à mesure de la montée. Arrive une clairière et le premier point de vue d’un beau pâturage et des bouses en plein soleil et des monts à l’horizon : une vraie carte postale et une luminosité si particulière… et Hop c’est reparti : des enclos électrifiés et des décharges qui surprennent, des petits ponts métalliques anti vaches qui peuvent vous mettre une cheville en vrac en moins de deux et cela semble redescendre …ouf mais les quadriceps sont bien crispés au début et se détendent au fur et à mesure de la descente !
Mais la pente s’accentue et cela devient plus technique et d’ailleurs je commence à me faire doubler par les gens du cru qui sont plus véloces que moi, j’avoue avoir peur de me blesser entre ces roches, ces feuilles, ces qq racines, ses feuilles et ses bouses…mais non je tiens et dès que le sentier est moins étroit et moins pentu jean no et moi accélérons et je redeviens lucide et me calme car la fin approche et je pense déjà au marathon de Metz la semaine d’après et je laisse jean noel me doubler et je termine en relâchant en 1H37 ! Ca fait du bien de courir sans pression et entre potes, une régalade surtout qu’une bière de récupération nous attends… Laurent et Yoda terminent à qq minutes derrière nous !
Merci mon binôme de choc et à ta femme pour ce fabuleux Week-end entre récupération et course à pied : merci à ce club pour ces rencontres utiles !

ASMment vôtre,
Eric L
PS : Cricri tu n’as pas couru cette fois mais tu reviendras encore plus forte !

 

Récit de Laurent Masset :

Laurent nous avait proposé de longue date un week-end prolongé dans son chalet familial à Septmoncel, dans le Haut-Jura. Nous avions tous acceptés alors avec enthousiasme et attendions avec impatience la date.

Laurent avait réussi à faire coïncider ce séjour avec le Trail des 7 Monts qui se déroulait en même temps. Au départ, Eric et moi avions opté pour la petite distance de 15 km car nous devions courir 1 semaine auparavant les 80 km de l’Eco Trail Paris. Finalement, celui-ci a été annulé tardivement. Du coup, plus de problème de récupération.

Le week-end commence fort néanmoins car dès le vendredi, un programme chargé nous attend : déjeuner à Arbois avec un poulet au vin jaune magnifique accompagné d’un joli Savagnin. L’après-midi fut consacré à une petite dégustation chez un vigneron arboisien sans oublier le fameux chocolatier Hirsinger sur la place. On ne s’attarde pas trop néanmoins car il reste une centaine de kilomètres à parcourir jusqu’à Septmoncel, près de Saint Claude.

Le temps de nous arrêter à une fromagerie pour acheter moult Mont-d’or, Saucisses de Morteau, Comté, saucissons aux morilles, au morbier, au comté… et nous arrivons enfin au terme de notre voyage au chalet « Leturger » comme l’indique les panneaux routiers. Apparemment, notre webmaster est une « Legend Local » 😉

Nous avons à peine le temps de prendre nos marques que les choses sérieuses commencent : apéritif, jambon de pays, Saucisses de Morteau, patates au Mont-d’or fondue au Macvin, dégustations de quelques bouteilles… Bref, la vraie vie, loin de ce foutu Covid.

Samedi matin, lever à 6h30 car Laurent nous a concocté un petit TMT (Trail Montagnard Touristique). Hélas, alors que la météo était très douce la veille et sec, il pleut beaucoup ce matin et la température est passée de 17° à 8° ☹

On s’équipe du mieux possible avec nos Gore-Tex et on s’élance à travers la forêt. J’avoue avoir eu beaucoup de mal à suivre le petit groupe car d’emblée, une succession de montées sèches se sont enchaînées. En plus, on a droit à de la boue, encore de la boue, toujours de la boue… Sans parler des rochers très glissants particulièrement dangereux en descente.

Rencontres avec les vaches franc-comtoises surprises de voir des coureurs sous cette pluie et, malheureusement, un paysage que nous ne pouvons apprécier du fait de la présence d’un ciel bouché. Une ultime montée bien raide, pour ne pas dire un mur et nous en terminons avec une petite dizaine de kilomètres.

Nous irons passer le reste de la journée aux Rousses en, passant par une visite au Col de la Faucille et un magnifique repas convivial au bord du lac (croûte aux morilles, Burgers Corse-Jura) sous un beau soleil inattendu. Avec une belle balade digestive en sus.

Le repas du soir sera du même acabit : du lourd ! Raclette avec charcuterie, un Hermitage rouge d’anthologie, et pour finir une loooongue dégustation de chasse-brouillard : Rhum philippin, dominicain, réunionnais, Bénédictine, Vieille Prune du Périgord. Tout cela afin de bien se préparer pour la course du lendemain 😉

Dimanche matin : réveil à 6h15. Petit-déjeuner et on part chercher nos dossards. Premier constat : il a gelé ! Il fait – 2° ce dimanche mais le ciel est tout bleu et nous assistons au lever du soleil.

Nous assistons au départ du 33 km à 8h en pensant bien à eux car ils vont s’enquiller près de 2.000 m de D+

9h30, c’est à notre tour de nous élancer sur le 15 km et ses 600 mètres de D+. Ceux-ci sont quasiment concentrés sur les 6 premiers kilomètres. Autant vous dire que ça pique très rapidement, les cuisses souffrent, le souffle est court mais tout le monde est logé à la même enseigne. On passe devant le chalet « Leturger » où notre fan-club nous encourage.

Le parcours est totalement en forêt au départ mais pas facile car, si cela ne fait que monter, le chemin en single est en devers et bien glissant parfois. Au bout de 50 mn, je débouche enfin au sommet. Le paysage est tellement somptueux que je m’arrête quelques minutes pour le contempler :

Montagnes couvertes de sapins le long de la frontière suisse, quelques petits lacs et le brouillard qui envahit les basses vallées : c’est magnifique !

Je reprends ma route, sur la crête, où les petites montées succèdent aux descentes. Le paysage, bucolique, n’est pas sans me rappeler celui du Cantal. Le parcours est très bien balisé et donc aucun risque de se perdre.

Après une dizaine de kilomètres, on amorce la descente finale de près de 5 km. Une descente très technique parfois. Tantôt des rochers ou pierres qui roulent sous nos pieds, très glissants, tantôt des chemins en devers, boueux, au bord du vide. Je suis stupéfait devant la vélocité (voire l’inconscience) des locaux et locales qui me déposent littéralement dans ces descentes. Je les reprendrai cependant sur le plat ou les quelques montées qui restent.

L’arrivée se profile et on rejoint le bitume. Je peux dès lors accélérer jusqu’à l’arche d’arrivée où je rejoins mes compères. Hélas, pour cause de Covid, pas de soupe au vin jaune cette année.

C’était une course magnifique. Pas facile, exigeante mais à faire. Cela m’a confirmé que j’étais davantage un bitumeux qu’un trailer car les descentes ne sont vraiment pas pour moi. Et je préfère les allures plus régulières, tout en gestion.

Je passe sur la récupération que nous avons tous dû attendre longuement faute de clés pour rentrer 😉.

Merci Laurent pour ce séjour incroyable plein de bonne humeur, de convivialité, de partages, de rigolades…. La vie est belle et nous sommes chanceux !!!

 

Récit de Laurent Leturger :

Voilà 3 ans que j’ai découvert l’existence de ce Trail dans un village du Haut-Jura où mes parents ont fait bâtir un chalet il y a 40 ans : Septmoncel, altitude 960m, le trou du C.. du monde, plus d’animaux que d’habitants ! J’étais bien loin de m’imaginer qu’on pourrait organiser un trail ici… et même un très beau trail, bien costaud, le trail des 7 monts.

J’ai donc imaginé en 2019 de proposer ce trail à quelques furieux de l’ASM avec forcément l’idée de faire découvrir cette région que j’affectionne tout particulièrement. Je m’y suis pris un peu trop tard, tout le monde avait une course de programmée, et oui ça ne s’invente pas, le week-end c’est pas fait pour se reposer mais pour courir. Alors j’avais donné rendez-vous en 2020 sans faute !

 

1 an plus tard ! comment dire ? beaucoup, beaucoup de choses se sont passées, nos vies ont quand même un peu changé. Et là où toutes les courses (petites et grandes) programmées se sont annulées, reportées pour ensuite être finalement annulées, ce trail à Septmoncel, tel le petit village gaulois, semble bien décidé à aller au bout de son projet. En Aout 2020 moins de 30 inscrits, mais c’est pas grave on se dit que si c’est annulé on le fera en off mais on n’annule pas le week-end. 1 semaine avant le trail à peine 70 inscrits, c’est pas grave, à défaut de trouver un compagnon de course, on fera coucou aux vaches.

 

Le week-end s’organise, d’ailleurs on ne sait plus si c’est pour aller courir un trail ou si c’est tout simplement pour aller respirer un air non « covidisé » entre amis et juste profiter de la nature et de ses plats régionaux.

On décolle le vendredi matin très tôt avec les Laroche, Masset et Lonchampt pour tenir les délais et arriver sur Arbois vers 12h30, première escale et premier trip culinaire au restaurant « La Finette » pour déguster un poulet au vin Jaune et faire découvrir le cépage Savagnin ainsi que le Macvin (Apéritif du Jura). Après le restau, faut pas mollir, un peu comme après une côte, faut relancer : Laurent Masset nous a programmé une dégustation au domaine de la Pinte toujours sur Arbois, l’occasion de remplir encore un peu plus nos coffres de voiture.

On quitte la région viticoles du Jura, direction Septmoncel dans le Haut-Jura, 100km avec un arrêt obligatoire dans une fromagerie incontournable près de Saint-Claude…. Et oui il faut préparer le diner du soir : Saucisses de Morteau / Pommes de Terre / Mont d’Or / Salade (Et cancoillotte que je vais oublier d’acheter !). Arrivé au chalet, installation et déjà préparation des hostilités ! Jean-Noel et toute sa petite famille nous rejoignent vers 20h00, c’est top, juste à temps pour l’apéro ! On en profite pendant que les saucisses de Morteau cuisent en papillottes dans le four à la mode Franc-comtoise (Surtout pas bouillies dans de l’eau et surtout pas piquées, ce serait un crime). Le poêle chauffe, ça sent bon les soirées conviviales des sports d’hiver, une première soirée déjà prometteuse pour la suite.

Je n’ai pas oublié l’objectif du week-end, courir et profiter de la nature, alors j’ai prévu un 10km Trail de reconnaissance le samedi matin. Réveil 7h30, je me lève, le poêle est froid, dehors il fait froid et il pleut de façon soutenue… on est 4 à partir, heureusement car tout seul je serais reparti sous ma couette (Mdr)… au final on se motive et on y va… 9km de trail emprunté par les coureurs du 33k le lendemain. Ça pique, il pleut fort, ça monte, ça descends, y a de la boue, des rochers, mais on passe un bon moment de fusion avec la nature sauvage.

 

Ensuite que du bonheur, on rentre, petit dej avec les dames et une journée de visite pour faire découvrir la région : Col de la Faucille, Les Rousses, restau au bord du lac des Rousses… Je ne me rappelle plus la dernière fois où je suis venu en Automne, mais les couleurs sont magnifiques, on a l’impression de se balader autour de cartes postales. Dommage je voulais emmener la troupe en haut du col de la Faucille pour admirer le panorama (Le Lac Léman et la chaîne des Alpes), mais fermé et le manteau nuageux était trop bas. Voila ce que l’on a raté :

Retour le soir, pour une raclette et séance de dégustation d’anthologie !!! Hermitage, Clos des Lambrays, Arbois / Rhums / bénédictine sont nos amis.

Dimanche 07h00, Valérie se lève à la même heure que nous pour voir nos têtes et prendre des photos compromettantes … mais non, on est les 4 warriors au taquet et aucune « gueule de bois », comme je le dis toujours, si l’on ne boit que de bonnes choses, on n’est pas malade le lendemain.

Le chalet est à 200 m du départ, le top, on passe chercher nos dossards à 7h30 et on a le temps de revenir pour un petit café car le départ de l’enjambée 15k est à 9h30. Je précise qu’il y a aussi un 33k avec 2000m de D+, mais là franchement c’était pas à ma portée, je m’en étais rendu compte pendant mon repérage en Juillet, il fallait une grosse prépa et c’était pas mon cas.

Ah oui ! entre temps, en une semaine le nombre de participants est passé de 80 à près de 375 inscrits. Forcément, en ces temps compliqués, certains ont décidé d’attendre le dernier moment, et d’autres en vue de leurs préparations sportives et du manque de compétitions officielles se sont inscrits sur des courses « moins populaires ». Et c’est comme ça qu’on a couru avec des méga gladiateurs qui, à mon avis préparaient leur saison de ski nordique et biathlon (Le sport officiel du Jura).

 

Donc Jean-No, Éric, Laurent M et moi sommes sur les starting-block de ce 15km que j’avais déjà repéré 3 mois plus tôt….  En fait ce trail il est pas compliqué : 6,5km de montée (600D+), un peu de plat, et 5k de descente bien technique…. et oui vive les trails dans les massifs montagneux. Mais à la limite on ne se plaint pas !!! Le 33km aurait pu devenir un vrai chemin de croix.

Départ, au bout de 300m on passe devant le chalet, encouragements des filles de Jean-no ! Valérie,  Isabelle et JP (le mari de Christine) nous encouragent, Sophie (ma femme) en pyjama avec son bol de café sur la terrasse , la vie est belle !!! Christine un peu plus haut nous filme.

Ça monte dès 400m, moins d’1 kilo après le départ je marche tant de dénivelé est important, à ce stade, on est en mode économie d’énergie.. au bout de 2km on longe la montage sur le flanc, le « tracé » c’est 40cm de large en dévers abrupte et cela pendant 2k… là ça tape fort. Je laisse passer Jean-Noel derrière moi, car j’ai du mal à ternir le rythme. Sorti du devers, un peu de bitume en montant (800m) et c’est reparti pour de la grosse grimpette en forêt et dans les pâturages, avec parfois pas de piste… à un moment je pense à mon ascension du Mont-Blanc il y a 3 ans, « Un pied devant l’autre et on avance »…. Au 7ième kilo, on arrive sur le plateau avec des paysages magnifiques, l’occasion de rattraper et doubler quelques furieux de la grimpette (ils sont nés ici, ils ont ça dans le sang). Et la descente s’amorce, c’est pour moi une autre partie de la course qui commence, suis nul en descente (sauf en ski). Là je vois passer des mecs et des filles super aguerries sur ce type de discipline… je me demande comment ils font pour ne pas se blesser ! Mon principal but, ne pas se blesser et se fouler une cheville, j’ai d’ailleurs failli y passer sur un rocher bien humide ! Et puis le gag du moment, je m’électrocute en soulevant un fil de clôture pour aider une jeune coureuse à passer, pour me remercier elle me mettra 8mn dans la vue (Mdr).

A 4km de l’arrivée en pleine descente, j’entends un pas décidé arriver derrière moi, limite je sens le sol vibrer et ça arrive vite, suis quasi sur que c’est un 33K, pas raté c’est le futur vainqueur du 33K, Il vole à côté de moins sur les rochers, un vrai cabri, en 1mn je ne le vois déjà plus ! Le second va me doubler 200m avant l’arrivée, soit 15mn derrière le premier.. y a du level !

 

Au final arrivée, largement attendue avec mes potos ASM, Eric et Jean-no pour me féliciter. Un trail de gladiateurs, avec une organisation au top et un balisage hors norme (Certains Trail des Yvelines devraient prendre des leçons). Au regard du niveau (10k, 15k et 33k), je reste persuadé que des supers athlètes se sont inscrits pour préparer leur saison hivernale qui va débuter (Ski alpin, ski nordique et biathlon), il y avait clairement un gros niveau, quand on regarde nos 4 classements respectifs dans nos catégories, c’est très parlant..

Au final une organisation irréprochable pour un petit village, un trail très très physique, même les 7 Hameaux dans la vallée de Chevreuse ne fait pas le poids. Et autre chose, le balisage était plus qu’impeccable surtout pour un parcours où on est pas toujours sur du chemin mais en plein pâturage !

Après ce super moment de trail il a fallu penser à rentrer… mais avant tout, un peu de récupération (ça nous manquait)  .. il faut finir les « restes » , Charcut, morteau, pommes de terre , vin (mais pas trop, on prend la route)… Et voila, fin d’après-midi c’est l’heure du retour, une bulle d’oxygène et de plaisir, pendant 3 jours, fortement déconnectés de notre quotidien si particulier depuis 8 mois.

Je n’ai qu’une dernière chose à dire « Rendez-vous en Octobre 2021 » !

 

Résultats :

Eric Lonchampt : 01:37:00 ( 9éme/15 – Catégorie Master 2 Homme)

Jean-Noêl : 01:36:41 (16éme/19 – Catégorie Master 1 Homme)

Laurent Leturger : 01:45:10    (14éme/15 – Catégorie Master 2 homme)

Laurent Masset : 01:47:33 (9éme/9 – Catégorie Master 3 Homme)

PS : J’ai mentionné le classement par catégorie juste pour information et faire comprendre que là-bas les Trail sont légion, y a un gros niveau, et pourtant Eric et Jean-No sont loin d’être des rigolos sur ce type d’épreuve.

 

Vidéo du départ par Cricri :

Diaporama :

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