Thoiry Wild Race 2021 4


Voici les récits de course de la Thoiry Wild Race qui se tenait le 19/09/2021, une ambiance et une organisation du tonnerre.

 

Récit de Claire :

Un  trail comme je les aime!!

Une organisation au top à l’ASM : de l’inscription au dossard et la récup’ !

Point de rencontre sur le parking de Thoiry en chaussures de trail de course ou crocs !

Après plusieurs pauses photos, échauffement dans la rigolade ! Puis tous au départ ! Première course avec William, il part rapidement devant,  je reste avec Laure (pas d’objectif temps pour moi, juste profiter du safari)

Plusieurs boucles, donc j’aperçois les premiers ASM de l’autre coté, ça motive !!

Puis, enfin ! Le safari commence ! Avec Laure et Marc : on court, pause photo, je les rattrape, on court, pause selfie éléphant girafe lion…

Derniers km, j’entends la musique et la fureur des premiers arrivés ! Hâte de les retrouver ! Dernière côte, dur dur pour Laure (qui ne se doute pas encore qu’elle va battre son record sur 10km!! bravo!) En haut de la côte, Gautier est là et trouve les mots pros pour accompagner Laure.

Je rattrape alors Marc : petit défi « Marc go dans la dernière descente ?! A toute allure, nous dévalons la dernière ligne droite acclamés par l’ASM, Marc passe devant moi sur la ligne, bravo !

Finisher!!

Une course safari comme je les aime, surtout pas de stress de chrono, de belles photos, une bière de récup’ tous ensemble simplement ! Quel plaisir !

Merci à tous, ASM power

 

Récit de Benoît Roudaut :

Nouvelle saison à l’ASM, nouvelles résolutions !

Le COVID ayant chamboulé les 2 dernières saisons, des courses ont été reportées jusqu’à 2 années consécutives (peut-être en 2022 qui sait ?).

J’ai encore eu une annulation 3 jours avant une course, pas plus tard que le 7 aout 2021 GRRR.

Dur d’avoir une régularité dans les entrainements, quand les objectifs tombent à l’eau.

Bref, ça semble être du passé !!!

 

Quelques handicaps pour aborder cette course (hors ceux que vous connaissez) : un échauffement à vif entre les cuisses, résolu par de la NOK. Je sais, ce n’est pas glamour. C’est le problème d’avoir des poteaux à la place des jambes. ET, un pied en vrac suite à la chute d’une enclume de neuf kilos sur un de mes pieds, il y a 15 jours. Un témoin a vu la scène, et a cru que mon pied était cassé. Juste un souci au niveau du gros orteil qui est devenu tout noir (comme l’ongle). Les aléas !

 

Remise en route sur le 10 Km de Thoiry le 19/09/2021 pour la ‘’ Thoiry Wild Race 2021 ‘’ :

 

Beaucoup d’incertitude sur le bon déroulement de cette course, n’étant pas assez entrainé.

Principale motivation, le partage de cet évènement avec plus d’une vingtaine d’ASMeurs.

L’organisation toujours parfaite des membres du bureau and Co.  que je tiens à remercier (Éric, Marianne, Sylvain, Caroline,..). Un covoiturage s’organise.

 

Nous voilà dans l’euphorie de cette 1ère course (pour la plupart) de cette saison après des mois d’attente. Bonne ambiance et déconnade sont toujours au RDV.

Je me lance sur ce 10 km sans prétention de résultat. L’objectif numéro 1 comme toujours est de ne pas se blesser, et 2 de finir la course. Certains sont chauds patate pour une perf, voire d’améliorer leur RP et se placent dans les premiers (Benoit, Guillaume, Jean-No,..). Le peloton ASM est bien au chaud en plein milieu des partants.

 

Départ laborieux, à devoir freiner à cause d’étranglement du parcours, limite à se piétiner dessus.

Entassé à ne pas voir le sol et à se tordre les chevilles. Car le parcours est mixte (chemins, très peu de route, champs, boue, escaliers,…). A 200 m, une montée s’annonce et la voie s’élargit. A peine je commence à me mettre sur le côté pour avoir une allure normale, que je me retrouve à faire des sauts de cabri pour enjamber les hautes herbes. Très vite, je savais que ce ne serait pas une course pour moi. La buée est apparue sur mes lunettes de vue. Habituellement, elle disparait avec le temps (gêné qu’au début), mais là ça a été tout le long du parcours, à devoir m’arrêter pour essuyer. Au fur et à mesure, chaque ASMeurs me dit un simple mot en me dépassant, ce qui est bon pour le moral. Mais j’ai lutté tout le long. Je n’ai pas pu profiter du paysage (c’est malheureux d’être dans un si beau cadre et ne pas pouvoir admirer). De ce fait, je n’ai eu aucun repère du parcours. Ça m’a paru interminable, je n’avais aucune notion du temps. De temps à autre, je détectais des personnes arrêtées sur le côté. J’en déduisais qu’il y avait une bestiole.  J’ai été tout le long sur mes gardes, pour ne pas tomber, ou rentrer dans quelqu’un. A un moment donné, je me suis retrouvé à enjamber des blocs de béton, car j’ai aperçu the flaque de boue, et je suis parti je ne sais où pour pas rester enlisé. Je redoutais les portions avec les escaliers, mais finalement ça a été. J’ai dû m’arrêter une fois de plus pour franchir et laisser passer les fous furieux en quête de quelques secondes. Visiblement, on a longé le zoo par l’extérieur (Je n’ai jamais visité ce zoo auparavant), Bonne nouvelle, c’est en sous-bois, je vais pouvoir reposer mes yeux. Le chemin est tout boueux, je me suis fait coincer derrière des personnes qui marchaient. Je sors de la forêt et entame une portion dans des champs où je me tape des orties. Ça gratte,… Le soleil en pleine tronche, j’ai dégusté. Buée, transpiration, buée,.. buée… Tout à coup, j’ai une jambe qui est parti je ne sais où. Bon, faut que je ressuis les lunettes ARRET OBLIGE. Et en fait dans un pif paf, j’étais tombé dans le fossé sans le voir (bien sûr) Ça m’a fait rigoler, j’ai laissé passer en pagaille. Et c’est reparti. J’ai entendu un ‘’Tiens Benoît’’, qui a changé la fin de ma course. C’est Sandrine. On papote, elle me motive, elle me relance. Comme d’habitude, je m’aperçois que j’étais en pleine montée quasiment à la fin de celle-ci. Tout ça, car je me posais la question de savoir pourquoi tout le monde marchais. Bref, la montée n’était pas finie. J’essaye de suivre Sandrine qui n’a pas l’air de lutter. Puis, arrive la grande descente en ligne droite du finish. Philippe qui me suis depuis un certain temps est parti au taquet, puis suis Sandrine, et moi sur les talons car je n’aime pas les descentes. Une fois mon gabarit lancé, je ne savais pas du tout où j’étais. S’il restait 10 m ou 300m. Que dois-je faire : accélérer, ou freiner pour ne pas rentrer dans quelqu’un ? J’entends un Benoit au micro (curieux), une holà se déclenche sur ma droite les encouragements des ASMeurs J (tout ça, à l’ouïe). Bon bah, je n’étais pas arrivé ; j’en conclu. Ah une arche, miracle. Bon cette fois ci faut que je freine. Ce calvaire est enfin fini !

C’est un peu galère de courir à l’aveugle !!!

 

J’ai tenté de retrouver quelqu’un du club qui était en théorie juste devant, sans résultat. Une fois que j’ai revu à peu près distinctement, j’ai été retrouver l’équipe de choc.

Les retrouvailles se passent dans la bonne humeur. Chacun fière de sa course en faisant ce qu’il a pu. Une belle 3ème mi-temps au rendez-vous. Tout en organisant sa prochaine course, ou en recrutant de nouveaux coéquipiers pour de nouveaux défis. J’ai déjà en vue des objectifs où je pourrais mieux en profiter (je serai entrainé cette fois ci, et j’aurai moins de poids à porter).

Belle course, à refaire dans des meilleures conditions pour ma part.

Voilà, c’était la reprise !

 

Merci à toute l’ASM pour ce partage !!!  Power and Enjoy

 

Récit de Laurent L :

Les dernières éditions coïncidaient souvent avec le Trail des Fond de Cayenne, de ce fait c’était une première pour moi. Un peu comme pour le semi de Bois d’Arcy, je me suis inscrit assez tôt, en fait j’avais tellement envie de regoûter l’ambiance des courses mais aussi de l’ASM Power que j’ai « rempli » mon mois de Septembre.

Côté représentation du club, là on n’a pas rigolé : 25 inscrits soit 1/3 des effectifs, du coup la grosse ambiance festive était au rendez-vous. Surprise! Le Coach (Gautier) était aussi inscrit sur cette course, et on ne le savait pas (moi en tout cas).

A la base je m’étais aussi inscrit sur ce 10k, pour caler mon allure sur le 10k du Tri de Deauville la semaine d’après (26 Sept), mais j’ai vite compris qu’on n’avait plus affaire à un trail qu’à une course bitumée et roulante; alors c’est pas grave, je forcerais un peu et on verra.

A 5 minutes du départ, on décide avec Gautier de se rapprocher plus près de la ligne car on a vu une belle casquette au loin, dépasser d’une tête tous les autres coureurs, c’est Guillaume, qui je pense aimerait battre son RP sur 10k et faire 50mn, on va donc le rejoindre pour faire le départ ensemble.

Top départ ! Nous devons être dans les 100 premiers coureurs à franchir la ligne de départ, et heureusement car avec la largeur du chemin, les flaques d’eau ici et là, en 50m ça commence déjà à ressembler à un jeu ou il faut éviter les obstacles tout en doublant ou en se faisant doubler ! Donc on marche (court) un peu sur des œufs le premier kilo. Je pense que derrière ça a du être encore plus galère. D’entrée de jeu, Gautier, Guillaume et moi on est séparés, je pense que je suis parti un peu trop vite aussi.

Clairement, le terrain n’est pas propice à battre des records, mais je maintiens une allure élevée histoire de me mettre en confiance. le parcours est vraiment sympa, quel cadre ! Après être remonté et fait le tour du château, on redescend dans la partie Zoo, au 4ième kilo Gautier me double (c’est déjà un exploit pour moi qu’il attende 4k pour m’enrhumer).  L’allure baisse naturellement mais je me sens bien, le passage au dessus de l’enclos des guépards est superbe (montée d’escalier) et en plus ça casse un peu les pattes. On arrive dans la partie « Reserve » et là c’est du grand spectacle, une autruche court à côté de nous, girafes, éléphants, pour une fois ce sont eux qui nous observent… c’est pas tous les jours qu’on peut vivre un moment pareil. En arrivant au tunnel des lions, je me retrouve, nez à nez (50cm) avec une lionne qui est allongée et regarde tous ces furieux débouler comme des malades. 6iéme kilo, on abandonne un peu les animaux pour faire le tour du zoo, 7iéme kilo, j’entends « Ca va Lolo ? », c’est Jean-No qui était parti de bien plus loin, et qui va m’enrhumer aussi ! 8k, presque 9k et de plus en plus de monde aux abords pour nous encourager, la fin est proche, mais bizarrement on arrive en haut du château (je pensais qu’on referait le tour) et on redescends vers la ligne d’arrivée, « non ça ne peut pas faire 10k !!! », et effectivement je franchis la ligne avec un compteur à 9,4k, Damned !!! je regarde le chrono, 48’42 en allure 5’10 c’est bien, mais j’aurais aimé faire un vrai 10k.

Après la course, je me suis tout de suite placé à 150m de l’arrivée pour encourager les ASMeuses et ASMeurs qui terminaient leur course, séance photos et, au fur et à mesure que notre groupe grossissait, on a terminé par faire la ola à chaque passage d’un ASM, un grand moment de plaisir. On est vraiment pas passé inaperçu, d’ailleurs nous avons souvent été cité par le commentateur, Olivier a été interviewé aussi. Donc énorme coup de pub pour le club. J’en profite aussi pour féliciter à nouveau le formidable boulot qui a été fait par Marianne et Eric l’an dernier, sur le projet des nouveaux maillots ASM !!! On est repérable à 1km, c’est trop fort, aussi visible que les maillots du club de Bazainville.

Et comme bien souvent, on s’est retrouvé pour le moment tant attendu de la récup’, merci à Sylvain, Jean-No et j’en oublie, pour avoir apporté de quoi régaler nos papilles.

En résumé, une organisation au top, une course vraiment originale, hors norme, dans un contexte familial festif. Je reviendrais l’an prochain pour tenter de dépasser une autruche (Mdr).

 

 

Récit de Benoit S :

Ça faisait un bon moment que je n’avais pas fait de course. Je pense que la dernière doit être Marseille Cassis en 2012 avec mon boulot de l’époque. Côté physique, je reviens de loin et côté entraînement j’ai repris début 2020 en mode tranquille et en juin 2021 à l’ASM.
Donc cette course était particulièrement attendue de mon côté. D’autant plus qu’au fur et à mesure des quelques mois entraînements on voit que les efforts payent, les progrès arrivent et les sensations reviennent. J’avais bien essayé d’atteindre un objectif de vitesse, mais jamais réussi depuis la reprise…
Pour cette course, un échauffement est organisé, des coachs sportifs font le show sur une musique entraînante pour faire bouger la foule de coureurs.
On se met en place pour le départ, il avait été conseillé de se mettre dans les premiers pour faire un temps (et profiter des animaux), j’ai donc suivi les instructions. Les goélettes sont parties avant les coureurs et quelques minutes après, départ ! J’aurais bien aimé un tir au pistolet, mais vis à vis des animaux ça peut être problématique…
Ça part très très vite (rien d’étonnant), 4’22 au premier km ! Le second est marqué par un dénivelé conséquent (26m). Pas mal de personnes me doublent au 3eme et 4eme km. Le revêtement n’est pas du tout homogène. J’ai particulièrement apprécié le bitume au niveau du safari (et admiré les animaux), mais on retrouve beaucoup des chemins caillouteux, parfois boueux, de l’herbe, des écorces, des dévers ponctuels, …
Passage très sympa dans le tunnel des lions où ils nous attendaient dès l’entrée !
Au 6eme km, je commence à remonter progressivement, l’allure est soutenue j’essaye de garder le rythme. Le 7eme km descend un peu (-19m) donc beau temps, mais le 9eme ça monte dans un bout de forêt pour atteindre le château (31m), c’est là qu’il faut rien lâcher ! Devant le château on remarque une belle descente avec l’arche d’arrivée : DÉJÀ ??? On vient de boucler le 9eme ! Donc on donne tout…
Et oui un parcours de 9,3km et non 10km.
Résultat, 45’50 et un objectif réussi de finir avec une moyenne supérieure à 12km/h.
Quelques regrets de ne pas avoir pu suivre le club sur le parking pour la « récupération » mais content d’avoir pu partager la première course enfant (900m sois disant) de ma fille !
Le reste de la journée à profiter du parc entre famille et amis.
Je recommande cette course pour tous : débutants, initiés, patronnés.
A très bientôt sur le prochain départ (MDP 17/10/2021 pour moi).

Benoît

 

Récit de Laure :

Du bonheur

Quel sentiment extraordinaire lorsqu’accompagnée de Gauthier je vois la descente qui conduit à l’arrivée et tous ces gens qui sont là pour nous applaudir, le coach me dit de ne rien lâcher ! Ça c’est sûr que je ne vais pas lâcher ! Cela fait deux mois et demi que je me prépare à relever ce défi fou pour moi ! Je passe le premier groupe de l’ASM qui me transmet toute son énergie ! Je suis euphorique puis un deuxième groupe au couleur de l’ASM allez je reprends avec joie une bonne dose d’énergie bienveillante ! Puis la ligne d’arrivée, le sourire jusqu’aux oreilles,  je tombe dans les bras de Claire ma Safari girl qui a pris le temps de courir avec moi et qui nous a offert avec Marc des supers selfies improbables que je n’ai pas pu m’empêcher de partager avec ma famille et même mes collègues le lendemain ! Oui selfies éléphant, girafes, lion et tigre ! C’est ça Thoiry ! Pour une fois, j’avoue,  je suis fière de moi ! Moi qui n’ai même pas la moyenne à la VMA, qui ai trouvé de supers excuses de décembre à juin pour ne plus venir aux entrainements, je viens de réaliser un de mes rêves,  réussir une course  de 10 km ! Merci à Guillaume qui m’a poussée à m’inscrire à l’ASM et à Tonio qui lors de l’AG m’a dit que je pouvais y arriver ! Merci à ceux qui ont lancé l’invitation pour la course de Thoiry au bon moment ! Il me fallait un projet pour avancer ! L’inscription faite en juin dans le groupe des gazelles de compète, je ne peux plus y échapper ! Je dois reprendre la course, je dépoussière un livre de running acheté il y a quelques années déjà, direction chapitre préparation pour un 10 km, entrainement tous les 3 jours ! C’est parti pour des vacances sportives, il faut au moins que je finisse la course ! En Vendée je ne tiens pas plus d’un demi-tour de barrage au départ, soit 2 km ! Même mon neveu de 7 ans me pulvérise !  Puis arrivée au Portugal coachée par mes enfants, mon mari et ma maman qui a marché derrière moi pendant 1 mois, je ne lâche rien pour une fois ! Ils sont tous étonnés d’ailleurs ! J’atteins les 5 km mais ça monte dans le petit village de mes parents cependant après 48 ans, quel plaisir de découvrir de nouveaux paysages apaisants entre montagne et rivière, j’y crois ! Puis retour en Vendée et là c’est bien deux tours et demi de barrages que j’arrive à faire ! Mais attention mes genoux se manifestent : « calme ta joie ! » Mais je sais que je peux compter sur eux ils ont été bien réparé il y a 17 ans par un certains Eric L…

Puis reprise des entraînements en septembre, courses le week-end, une semaine avant le jour J, un premier 10 km avec mon fils et mon mari qui me suivent en VTT, enfin, je les suis de loin plutôt ! C’est donc possible ! Dimanche 19 septembre  arrive, je me lève, j’ai mal au ventre, ça me rappelle les jours d’examen !  J’arrive sur le parking, je cherche des maillots verts et blancs, ils sont là bien visibles, OUF ! Sylvain et Laurence qui ont eu la gentillesse d’aller chercher les dossards me le donnent avec mon premier tee-shirt ! Je suis trop contente, je ne comprends pas pourquoi il y en a qui n’en veulent pas ! On me demande comment ça va ! Je stresse un peu mais une fois avec le groupe la pression retombe. Nous partons, bonne ambiance, des encouragements, des photos souvenirs, petit échauffement, puis nous voilà dans la grande ligne droite du départ, beaucoup de monde, c’est parti pour une heure 15 de bonheur ! Des images pleins la tête, on cherche les animaux, on s’émerveille, on ne voit pas le temps passer, on est bien doublé au départ puis vers la fin on double un peu quand même ! Marc nous attends entre deux photos, nous sommes comme des enfants, enfin, je lâche prise !

Quel bonheur de partager tous ces moments avec vous et ma famille ! Comme quoi tout est possible ! RDV aux flambeaux ! Et oui, j’ai bien compris qu’il fallait vite un nouveau projet pour ne plus jamais lâcher !

 

Récit d’Edwin :

Thoiry Wild Race: La deuxième course avec mon fils!

William et moi avions participé la première fois en 2019 avec la course de 5km (William n’avait pas encore l’âge requis pour le 10km), une course très sympas dans le parc et en passant par le safari.

Nous attentions donc avec impatience de pouvoir refaire cette course : Inscriptions réalisées dès l’ouverture en ligne !

Le groupe WhatsApp de l’ASM grandit de jour en jour et toute l’organisation se met en place : Marianne en chef d’orchestre et Caroline et Sylvain se proposent de récupérer les dossards !

RDV pris pour 8h45 sur le parking : impressionnant nous sommes 26 de l’ASM à y participer. Déjà une très bonne ambiance avec l’ASM !

En plus d’être très nombreux, nous sommes facilement repérables avec nos maillots blanc et verts !!

 

L’échauffement (presque comme le PPG de Gauthier 😂 😂 ) sympa avec la musique et une bonne animation, nous prépare pour la course.

Les 3 équipes avec les Goélettes partent en premier sous nos applaudissements et encouragements : une Goélette est un fauteuil tout terrain monoroue avec deux accompagnateurs et permet à une personne en situation de handicap aussi d’y participer !!

 

Puis c’est à nous de partir; nous aurions du nous mettre un peu plus vers le début car nous nous retrouvons en plein peloton… On commence notre remontée pour retrouver un peu plus d’espace et pouvoir courir à notre rythme. Nous suivons Manu, déjà en mode trail, dans la montée et à côté du chemin pour dépasser un certain nombre de participants.

Nous passons par le château, le parc et enfin le safari; William suit bien; On se retrouve devant l’éléphant pour un selfie : objectif atteint puis un autre avec les girafes : c’est fait top !

Le tracé passe cette année par des chemins à l’extrémité du parc et en mode trail : sympa (bon ça glisse un peu)…

Au huitième kilomètre, William m’encourage allez papa, accélère 🤨, il s’est mis derrière un bon coureur et accélère tranquillement dans la montée, il a bien fait : il est finalement 40 secondes plus rapide que moi!!

L’arrivée est très sympa en descente et les ASM qui m’encouragent !!

 

Bravo à tous les coureurs ASM ! Et une première course officielle pour quelques personnes double bravo !!!

 

J’adore cette course, pouvoir courir dans le safari est juste magique, une bonne ambiance et bien organisée !

A l’année prochaine !!

 

Récit de Sandrine:

Bon alors, déjà parlons du temps, deux jours avant la météo nous annonce de la pluie ☹…. et bien miracle un microclimat sur Thoiry donc super soleil, des conditions idéales pour courir !!!

RDV avec la team sur le parking pour distribution du T-shirt « officiel » et du dossard, super organisation comme toujours et nous voilà parti pour 10kms au milieu des « bêtes sauvages » 😉

Super parcours, super ambiance, moment inoubliable. Merci à toute la Team c’est juste génial !!!! Trop hâte d’être à la prochaine course avec vous tous.

 

Résultats :

Benoit Roudaut: 01:05:53
Benoit Schneider : 00:45:50
Caroline Gillier Paulin : 00:59:34
Claire Bazire : 01:14:22
Didier Lefort (ZeClown) : 00:56:34
Edwin Determann : 00:53:21
Emmanuel Serrurier : 00:55:18
Eric Lonchampt : 00:49:42
Gautier Lombart : 00:46:45
Guillaume Griffon : 00:50:17
Jean-Noel Mercereau : 00:47:27
Kheloudga Bourgha-David : 00:59:49
Laure Pigot : 01:14:59
Laurence Roux : 01:11:14
Laurent Leturger : 00:48:43
Laurent Masset : 00:55:10
Marc Basso : 01:14:23
Marianne Forey : 00:59:17
Olivier Paulin : 00:51:34
Philippe Guillaume : 01:05:35
Sandrine Galan : 01:05:26
Sylvain Roux : 01:16:24
Thierry Crespin : 00:58:02
Valérie Froissard : 01:02:40
Valérie Lemanceau : 00:58:20
William Bazire : 01:02:54

Galerie photos :

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4 commentaires sur “Thoiry Wild Race 2021

  • mm
    Guillaume GRIFFON

    Quel plaisir de revivre cette belle matinée en lisant vos récits.
    Laure, je ne pensais pas que tu t’étais autant mis la pression. Bravo ! Et ravi de t’avoir poussée à nous rejoindre.
    De mon côté je n’aurais peut-être pas du viser de faire un temps sur ce parcours qui ne s’y prêtait pas, je n’ai pas assez profité de l’environnement. Mais j’avais envie de mesurer mes progrès sur ce type de distance.
    Merci encore à Eric de m’avoir soutenu sur la seconde moitié.

  • mm
    Laurent MASSET

    Bravo à tout le monde pour avoir pris la peine de rédiger ces récits.
    Un gros « Big UP » pour Laure à l’occasion de sa première course.
    Et un gros regret : ne pas avoir accompagné Benoît R pour lui épargner ce calvaire. La prochaine fois…