Triathlon Ironman 70.3 des Sables-d’Olonne 2023 11

Voici le récit de course du Triathlon Ironman 70.3 des Sables-d’Olonne dimanche 2 Juillet 2023.

Récit de Laurent :

Après avoir réalisé l’Ironman 70.3 de Vichy l’an dernier et avec la frustration de voir l’épreuve natation annulée, je mettais évidemment promis d’en refaire un en 2023 et pourquoi pas celui des Sables-d’Olonne, il a l’avantage d’être pile poil en fin de saison, fin Juin, à l’inverse de Vichy, fin Aout, qui oblige à continuer un programme d’entrainement conséquent sur Juillet-Aout. Ma dernière expérience sur un L complet (avec Natation) était le triathlon L des 2 amants en Septembre 2022, histoire de réellement me mesurer à l’exercice, j’avais terminé en 5h34 avec une immense satisfaction, une bonne nat, un vélo très solide et un semi en 1h50, le pied quoi !

Janvier 2023, cela fait 4 mois que je n’ai pas fait de vélo, ni natation à cause de mon épaule droite en vrac, il devenait urgent de s’y remettre ! paradoxalement, j’étais bien affuté en course à pied, puisque je préparais aussi le marathon de Séville de fin Février et que j’avais fait RP sur le semi de Boulogne-Billancourt en décembre. Côté renfo musclaire, je ne change pas les habitudes, renfo et muscu depuis 1 an m’ont permis d’éviter des maux de dos et de bosser le haut du corps nécessaire en Nat et même en vélo.

Donc je m’inscris sur l’IM70.3 des Sables en Octobre 2022, avec Olivier et Benoit. Au final, Olivier ne fera pas parti du wagon de départ pour cause d’opération, mais ce n’est que partie remise en 2024. Ce sera le premier format L pour Benoit (je trouve cela plutôt précipité mais bon). Je rappelle un format L, c’est 1,9K en natation, 90km en vélo et un semi-marathon pour le dessert !

En plus de la prépa classique des 3 disciplines, j’ai travaillé les techniques de transitions avancées comme la montée / descente de vélo ou l’art et la manière de se défaire d’une combi néoprène en moins de 20 secondes. Pour mettre tout cela au point j’ai profité de participer à 3 tri S (Les Mureaux, Versailles et Beauvais), pour mesurer les progrès et faire les ajustements nécessaires. Je comptais ensuite sur le Tri Distance Olympique (M) de Deauville, pour envoyer fort, battre mon chrono et voir si tous les feux étaient au vert. Pas de chance, comme vous le savez, il a été annulé, et c’est doublement pas de chance, car la CAP même en 10k m’aurait permis de comprendre que j’étais finalement pas si prêt que ça !

Je me souviens, 1 semaine avant le marathon de Séville, demander à Eric de regarder mon talon droit, j’ai vu à sa grimace que c’était pas bon signe (je m’en doutais aussi), ça sent l’aponévrosite plantaire ou l’épine calcanéenne ! Eric m’explique que c’est pas encore la cata, que je peux faire Séville, j’ai effectivement performé sur ce marathon mais j’ai fait la connerie monumentale de ne pas me soigner juste après, c’est de ma faute et je vais le payer …. Car je ne vais réellement me préoccuper de la chose qu’à partir de fin Avril lorsque la douleur à chaque run s’accentuait. Ce qui m’a value de fortement baisser ma charge running, en croyant bêtement que mon foncier ferait l’affaire.

Les 3 graphiques ci-dessous sont très représentatifs de se qui va se passer sur ce Half Ironman : A partir de Janvier et jusque fin Juin, j’ai vraiment bien bossé la natation et le vélo, avec une bonne montée en charge et un allégement avant le D Day! En course à pied c’est carrément l’inverse, je donne bien en hiver 2022 pour ma prépa marathon de Séville en février, et ensuite je calme fortement la charge (forcé) en Mai – Juin, en me disant surement qu’avec le foncier je m’en sortirais, mais oui bien sur mon coco !!!

Voila, on est le 29 Juin, direction Les Sables d’Olonne, que je ne connaissais pas, pour un long week-end de 5 jours. Je retrouve Benoit et sa gentille famille le samedi pour le dépôt du vélo sur le parc à vélo , 3200 vélos quand même, et voila qu’on me susure à l’oreille « ca brule bien des pneus de vélo !», oula oui, vu le contexte actuel tout est possible, heureusement je me dis que les sables c’est quand même assez éloigné des problèmes actuels…. et puis le parc est quand même surveillée la nuit de samedi à dimanche, Quoique, tout est possible !

Je passe la soirée avec Caro et Olivier qui ont fait le déplacement depuis Vannes ! Ils sont géniaux, après avoir encouragé les trailers de l’ultra-marin ils ont pris la route vers les sables pour venir nous encourager ! un vrai week-end sportifs de supporters.

Dimanche matin, je me réveille….. à 5h00, en fait non, je me retourne dans le lit depuis qu’il est 4h15, normal quoi ! pourtant ce serait tellement simple de ne pas s’imposer ce genre de défi, glander au lit et ne pas subir de stress.

Je prends un plaisir immense à coller les tatouages IM (côté gauche Bras et jambes), j’en rêvais, surtout qu’à Vichy il n’y en avait pas !

Dernier check du sac, et c’est parti !

Ouverture du parc à vélo ! Chouette il a pas brulé dans la nuit !  Je retrouve Benoit et Thomas (Boudrot) que bon nombre d’entre vous connaissent ! allez il faut rejoindre le départ natation sur la plage. Y a 1 bon kilomètre de marche. 3200 triathlètes seront au départ, on va pas envoyer tout ce beau monde d’un seul coup ! le départ se fait sur une fenêtre de temps d’1h30, en vagues successives par catégories d’âge. Benoit en 40-44 part à 10h, moi en 50-54 à 11h06 comme Tom. Après avoir vu partir Benoit, je dois retourner pisser pour la 10iéme fois de la matinée…  j’aurais du en garder pour après (vous comprendrez).

Tom et moi on se retrouve sur la plage et on se place dans le sas d’attente, grosse ambiance, grosse musique. On est l’avant dernière catégorie au départ, je me dis que la pyramide des âges est respectée,  les vieux au fond !! et ben non pas du tout, la dernière catégorie, celle qui nous talonnera, c’est les 25-29 !! Nan, c’est une blague !!! on va donc les avoir sur le dos (sens propre et figuré) au bout de 5 mn de natation le temps qu’ils nous rattrapent ! je vous raconte pas la pression.

Allez, départ en rolling start, toutes les 12 secondes par vague de 8, Tom est juste derrière moi. La marée est montante, on se fait bien fouetter en entrant par de belles vagues, mais elle est glacée la flotte ! Wouahhhhh , j’ai déjà froid aux mains et à la tête au bout de 20m, en fait au bout de 100m ca va mieux (choc thermique entre le soleil sur la plage et la mer). Je pose tout de suite ma nage et prends un bon rythme, en me disant que lorsqu’on entrera dans le canal qui nous ramène au bord, ca sera plus simple, enfin faut quand même s’enquiller 1,9k, et pourtant je me sens super bien, je sens que je suis efficace, j’adopte un crawl en 2 temps (vue la cadence de bras et le besoin en oxygénation), j’ai un bon rythme et la respiration est easy,. Arrivé au canal, il doit rester 1,5k je pense, là ca va encore mieux, ben oui la marée est montante, elle nous pousse et les sensations sont hors normes, en plus avec l’inertie de la vitesse les mouvements sont plus efficaces et moins fatiguant, réellement c’est la première fois que je m’amuse vraiment sur l’exercice de natation ! je me repère bien avec les bouées de balisage qui nous amène gentiment au port de plaisance, pour relier le parc à vélo. Full crawl, sauf les 10 derniers mètres ou en apercevant le gros bouillon en face, je comprends que c’est la fin ! Je sors de l’eau, on me tape l’épaule, c’est Tom !!!! il me regarde et me dis merde t’es la ! (J’allais lui retourner la même), « on a fait moins de 32 minutes mon lolo ! ». Sur le coup je crois qu’il blague, je ne réalise pas…  Tom c’est devenu un super nageur quand même, et qui s’est entrainé toute l’année chez les Trinosaures, pendant que je me faisais C.. à faire des pauvres longueurs à la piscine d’Aubergenville (qui est juste la piscine la plus naze des Yvelines), et je sors en même temps que lui, Trop content!!!

Les 93km de natation cumulés depuis Janvier ont payés!

T1 : Ça va vite, je connais ! et je ne perds pas de temps, en plus j’avais super bien repéré mon emplacement vélo, ça peut vous paraitre dur à comprendre, mais après 1,9K de nat à fond, je vous mets au défi d’avoir les idées super claires et lucides pour retrouver votre vélo dans un parc qui en compte 3200 !

Vélo : Je saute comme un pro sur le vélo (cette fois j’avais pas oublié de mettre ma ceinture porte-dossard  cf Beauvais), j’enfile les pompes, royal ! au bout de 800m je reconnais la voix d’Olivier qui m’encourage, merci d’être présent les amis ! C’est parti pour 91km.

Je n’ai aucun doute sur le vélo, j’ai bouffé 2800 km depuis le 1^er Février, date à laquelle mon épaule pouvait de nouveau supporter la charge, ok je n’ai pas pu bosser le foncier en Automne – Hiver mais je pars confiant et solide sur le sujet, en plus je sais que le parcours est roulant. Et ça roule vite et bien !!!! des bonnes sensations tout de suite, je ne sais pas ou est Tom, surement devant, en tout cas vu son niveau aucune chance que je le rattrape. Quelques grimpettes sympas, rapidement avalées et donnant toujours lieu à une bonne descente de reprise derrière. Je ne suis pas dans la souffrance et c’est le moment de bien manger justement, toutes les 5 minutes je croque un truc ou je bois, c’est la clé pour tenir en distance et en temps. Je suis impressionné par le public sur ce parcours vélo, à chaque village, il y  a du monde sur les bords de route, des cafés / pub pleins avec des gens qui hurlent pour nous encourager, alors qu’on est vraiment pas des pros, les pros eux sont passés y a 2 heures. Je regarde ma moyenne qui oscille entre 33 et 34, c’est juste beau à voir, voila pourquoi je préfère le vélo de route au VTT, la course sur route au trail, c’est la vitesse ! ça me fait prendre un pied extraordinaire.

A partir du kilo 75, je calme le jeu, c’est en légère descente mais il faut récupérer pour la CAP, et à l’inverse de tous les autres Tris que j’ai pu faire, cette dernière partie me fait peur !

Arrivée aux sables, la aussi une énorme ambiance, le vélo se termine, je me sens en super forme, genre j’aurais voulu continuer un peu plus, et la, alors que j’ai vidé 2 beaux bidons au vélo, l’envie de pisser pour la 11ième fois me reprends, coup de génie y a des toilettes dans le parc à vélo ! mais le chrono tourne…. Je ne sais pas si j’ai battu un record, mais j’ai du pisser pendant au moins 2 mn (ca fait beaucoup sur une transition)… Argh !!! Aller vite vite, j’arrive au sas de transition, pompes de running, casquette c’est parti…. Je quitte la zone de transition et j’aperçois juste après Caro et Olivier qui m’encouragent et me filment, ça fait vraiment du bien, vu que cette année j’étais venu seul (l’an dernier j’étais avec les enfants).

Je démarre rapide la cap en allure souhaitée, soit 5’00, mais je sais que ca ne va pas durer. On longe la digue pendant 1,5km pour descendre sur la plage et courir 300m sur le sable, spectacle oblige, puis on remonte sur le parcours à proprement parlé, pour effectuer une boucle de 9k environ a faire 2 fois, cette boucle est en bordure de mer avec quelque petits dénivelés, c’est super agréable…. Enfin je veut parler du parcours, parceque moi, c’est catastrophique ! Je paie mon allégement de charge running depuis fin Avril pour raison de talon à soigner. En fait, le cardio va bien, pas trop de fatigue… ce qui coince ? j’ai 2 poteaux scellés dans une chape de béton à la place des jambes ! y a rien qui s’active, je me traine et je déteste ça ! Tout ça pour en arriver là ! j’arrive à mi chemin de la première boucle, soit 6km environ et déjà dans ma tête je me dis « allez encore 14 bornes »… si j’en suis déjà à me dire ca, que ça va être long ! Je décide de faire en full running mais je m’arrête à chaque ravitos, pour boire, de l’eau plate, de l’eau pétillante et banane/pastèque. au niveau du 11ième sur un ravito, on me tape sur l’épaule, c’est Benoit! content de le voir, il souffre beaucoup aussi! je lui propose de finir ensemble, de toute façon c’est cuit pour le chrono… on part et on se motive mutuellement, on finit la première boucle ensemble et on attaque la seconde! j’entends « vas y Lolo! », c’est Tom qui est en fait juste en face de nous, il termine sa première boucle aussi, sauf que moi comme je suis plus très lucide, je pense qu’il finit sa seconde boucle et qu’il est à 1km de la fin (et oui j’étais persuadé qu’il était loin devant moi en vélo) ! Au km 13, Benoit ne suis pas mon allure d’escargot, il marche, je lui explique que je veux terminer en courant tout de même, il me laisse partir. Voila j’arrive au bout de la plage, là ou on fait demi-tour pour rejoindre l’arrivée, il me reste 5km environ! 5 petits kilos sur les 109 déjà parcourus, c’est pas beaucoup mais ce sont les plus durs….. 18, 19, 20 !!! ça y est mon supplice CAP va se terminer, je décide d’accélérer pour ne pas avoir l’air d’un crapaud à l’agonie sur la ligne! et à 800m on me tape encore sur l’épaule, c’est Tom !!!!! Naaaannnnn, en fait il était derrière moi, et comme il a fait un bon semi, il m’a rattrapé, on avait rien planifié comme ça, mais quel superbe surprise! je suis hyper content pour lui, il me propose qu’on finisse ensemble et me fait accélérer, c’est trop bon, en plus avec Tom! on profite donc à 2 de cette arrivée magique et mythique! mais que c’était dur ce semi, le plus mauvais de ceux que j’ai pu faire.

Au final 5h36, soit 2mn de plus qu’au Tri des 2 amants en Septembre dernier, bof, bof! si j’avais au moins sérieusement décidé de traiter mon talon dès les premiers symptômes! c’est une négligence qui me coute cher et je saurait m’en rappeler pour l’avenir! J’avais les moyen de faire 12 à 16 minutes de moins sur le semi, j’avoue que je l’ai vraiment mauvaise. Il m’appartient d’en tirer les leçons et de mieux répartir mes charges d’entrainements pour l’an prochain, et surtout ne pas tomber dans la sur-charge qui conduit aux blessures.

Il n’empêche, ce Tri était vraiment top, une belle ambiance, un parcours très rapide, un lieu magnifique! je pense le refaire l’an prochain. Allez, je me projette maintenant sur le 6 Aout, le Tri de Nyon en Suisse, sur les bords du lac Léman, ca va être magnifique!!!

Je vous remercie pour tous vos message de soutien et d’encouragement, et un spécial thanks à Caro et Olivier et Néo pour leur présence!

Laurent, ASMment votre

Récit de Benoit:

Tout commence Le 10/11/2022 lors de l’inscription à la course. En annonçant le tarif à ma conjointe, j’ai cru que j’allais avoir un procès 😅 ! J’ai jamais mis autant pour une course…
Au niveau entraînement de préparation c’était plutôt léger voir inexistant. Comptant sur mon aptitude à la natation et à la course à pied, j’ai fait que du vélo et trop peu de sorties. Des longues sorties jusqu’à un 100km avec Laurent mais c’est insuffisant…
Le triathlon de Deauville 15 jours avant (en M donc moitié moins que le 70.3) aurait du faire partie de la préparation mais au vu des conditions météorologiques il a été annulé. D’un autre côté heureusement car j’ai cru que j’allais faire un malaise au repas du midi avant de prendre le départ…
Bref, nous arrivons la veille de la course (le samedi) sur place et récupérons le dossard, les sacs, … L’organisation est plutôt particulière vs les triathlons précédents, il faut déposer l’ensemble des affaires la veille : le vélo, le sac bleu (sac bike), le sac rouge (sac run). Peu habitué à cette organisation, j’avais mis en place une check-liste…
Le soir Caroline et Olivier, les supporters du WE, sont arrivés sur place après avoir encouragé les runners de l’Ultra-Marin !
Le jour de course, bon p´ti déjeuner et direction le parc à vélo pour refaire la pression des pneus, mettre en place le ravitaillement, les bidons de boissons et le GPS.
Avec Laurent on s’apprête à quitter le parc à vélo quand j’ai eu une illumination 💡, j’ai oublié de fixer les chaussures 😅. C’est vraiment une organisation et une gymnastique d’esprit ce sport ! Direction la ligne de départ et voilà que je me rends compte que j’ai oublié de mettre le tatouage avec le numéro de dossard, décidément…
Dépose du dernier sac (sac street) avec les affaires de rechange après course et mise en place de la combinaison. 3eme oubli, les 2 sacs zip pour que le téléphone soit à l’abris de l’eau pendant la natation. J’improvise vite fait un emmaillotage dans un sac plastique et on verra bien…
Top départ, 8 personnes toutes les 12secondes avec classement par âge, ça évite les bousculades… On part direction pleine mer et on fait un gros virage pour rentrer dans le chenal et accéder au port. Je pensais distinguer nos supporters sur la jetée mais trop de buée dans les lunettes, je nage à l’aveugle 😅. Sortie de l’eau, transformation en cycliste, photo de Caroline et je saute sur le vélo. C’est parti pr 90km. Encore et toujours en difficultés dans les côtes mais suis plutôt content de la moyenne. A mi-chemin (45km) je me dit que le 6h est peut-être jouable, mais c’est sans compter la désillusion de la CAP ! Arrivée du vélo et transformation en runner. J’ai vraiment pas la gouache, les jambes sont très lourdes. A un moment j’aperçois Laurent devant (qui m’a donc doublé en me snobant). Je cours 400m à côté de lui il me remarque même pas (il continue à me snober). On arrive à un ravito, je lui tend un tuc sans rien dire (j’avais pas de Pom’pote 🤣). Et qu’est-ce qu’il me dit : « Qu’est-ce que tu fais là ? », MDR j’avais pas la répartie pr tortue une connerie j’étais dans le dur. On a du faire un peu plus d’un km ensemble et je l’ai lâché, j’arrivais pas à avancer.
Un chrono final de 6h50. Au niveau classement c’est minable mais au moins c’est fait. Maintenant c’est une référence, à voir pr les prochains… Me voilà 1/2 homme de fer 😅.
L’organisation est top mais faut se faire à ces différents sacs et au dépôt du matériel la veille. Niveau ravitaillement après course, j’ai jamais vu ça : pizza, pâtes, fruits, … mais pas genre en barquette vite fait, en mode cantine, posé…

Résultats:

Benoit Schneider : Natation: 41’03 (2,10 mn/100m) T1 5’44 » Vélo 3h18’05 (moy 27,84Km/h) T2 4’13 CAP 2h23’19 (allure 7’38)

Total 6h50’03 Classement catégorie 40-44 301/312

Laurent Leturger : Natation: 30’54 (1,38 mn/100m) T1 5’41 » Vélo 2h44’19 (moy 33,56) T2 4’21 CAP 2h11’25 (allure 6’14)

Total 5h36’38 Classement catégorie 50-54 141/274

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